Mes habitudes de "vieux" (c..) de programmeur autodidacte élevé au Turbo Pascal 5.5, VB, Delphi, Perl et autre et autres bazar suivant font que j'utilise quelques "ficelles"
- Description du programme (ne pas oublier la date)
- Énumérations
- Constantes
- Variables globales
- Déclarations de procédures
- Procédures
- Boucle principale
- TODO liste
- Datas
La TODO liste est un gros bloc de commentaire dans lequel je met tout ce qui est à faire. Ensuite, je suffixe chaque ligne par un FAIT dès qu'un point est terminé. Quand il y a écrit FAIT devant toutes les lignes: une bière

Quelques autres ficelles
- Les variables "poubelle" ont des noms explicites préfixées TMP_ ex: TMP_compteur
- Les variables et constantes ont un préfixe en majuscule, un "_ "et un suffixe en français (cela permet de les différencier facilement des mot-clés système)
- Les séparateur de champs sont collés comme en typo et suivi par un espace (ex: 10, 20, 30, "Hello")
- Les opérateur sont par contre encadrés par un espace ( a = a + 1)
- Si j'imbrique une fonction dans une autre, je l'écarte avec des espaces (a$ + Ltrim (b$) + " euros")
- Une seule instruction par ligne, sauf bloc de code éprouvé (for i = 1 to 10 : print i : next)
- Beaucoup de commentaires (de toute façon on n'imprime plus les codes source, et les espaces ne comptent pas pour le compilateur)
commentaire au dessus d'un bloc (avec plein de --- ) ou à la suite d'une ligne si c'est court
- Quand je remplace un bloc d'instruction par un nouveau 'mieux' je laisse un certain temps l'ancien bloc en commentaire au cas ou je doive y revenir.
- Deux caractères pour la tabulation, et pas de conversion en Tab (je laisse en espace)
J'utilise une foncte de caractère nomme DINA qui différencie bien le zéro et le O le un et le petit L etc
Voila ma contribution

[Ajout]
Quand un bloc devient assez/trop long, j'ajoute au bloc de fermeture, un commentaire indiquant d'où il vient. Valable surtout quand il y a des imbrications.
Code : Tout sélectionner
if Blablabla
...
...
...
endif ; --- Fin bloc Blablabla
Petite habitude aussi, je met le mot-clé fermant immédiatement après le mot-clé ouvrant, puis je ramène le curseur entre les deux pour continuer la saisie du code. Ainsi je sais toujours où j'en suis dans les imbrications.
C'est d'ailleurs commode commode d'utiliser l'autocomplétion en tapant deux fois TAB, ce qui affiche immédiatement le mot-clé fermant s'il existe.