J'ai... (quatre ans... désolé...) compris la singularité constatée par G-rom.
Le virtuel a des inconvénients redoutablement destructeurs notamment :
1) le 1er c'est qu'il vous est impossible de vérifier que je n'ai ni exécuté le code source depuis quatre ans, ni tenté d'exécuter le moindre programme en vue d'une analyse.
2) il se limite aux capacités de calculs et aux freins des concurrences de fabrication.
Il y a bien une singularité mais elle est virtuelle, pas réelle.
La cause est la "cassure" :
Dans la réalité, cette cassure est nettement plus précise et insondable.
C'est con à dire mais il faut un ordinateur plutôt vieillot et hors course pour observer.
Un objet est attiré par un autre, par force gravitationnelle. Et la collision permet un rebond "monstrueux" qui envoie la particule très loin de la masse très supérieure qui l'attire.
La singularité virtuelle est volumétrique (une boule).
La singularité réelle est surfacique (une sphère). Il n'existe pas d' << intérieur >>. Bien que causes et effets semblent montrer le contraire, virtuellement. Et qu'Albert Einstein en a sûrement prouvé l'inexistence, réellement.
Car, en physique, même si quelque chose n'existe pas, causes et effets prouvant le contraire peuvent arriver, soit pour faire looper une expérience, soit par manque de caractérisation de l'expérience, soit par impossibilité d'observation.
Il est fort probable que l'on soit très déçu par la réalisation de la banalité de 90% de la masse de l'Univers actuellement invisible, et appelé << matière noire >>. (Sûrement, y aura-t-il d'autres réalisations plus enthousiastes en parallèle...)
Ça commencera par deux observations scientifiques qui démontreront qu'il n'existe pas une seule forme de matière noire mais
trois formes de matières noires et, plus précisément
trois natures de création de la matière noire.
Ça permettra de comprendre, avec une simplicité absolument déconcertante, pourquoi une galaxie dessine fréquemment une spirale puis fige cette spirale.
Ça permettra de comprendre que notre univers va vers plusieurs << medium crunch >> si ce n'est pas un << big crunch >>.
Pourquoi 3 types de création ?
Essayez de montrer un système solaire à un enfant sur un écran. C'est impossible.
1) Les distances sont trop supérieures aux diamètres des planètes.
1a) Soit vous augmentez les diamètres
1b) Soit vous diminuez les distances
1c) Soit vous simulez un alignement qui contraint à
1c1) choisir une des dates précises d'alignement total, impossible
1c2) annuler la notion de perspective, ce qui revient à 1a ou 1b.
Bref des proportions spatiales trop importantes. cqfd c'est impossible.
Là, ce que j'ai voulu montrer est doublement impossible, car les proportions de
durée sont, elles aussi trop importantes.
Alors, on va "faire simple" pour se faire comprendre.
On prend deux boules de pétanque, un pack de l'impact, et on ne garde que les deux boules de pétanque pour la démonstration.
Quand on joue avec les boules, on sent bien que quand on les cogne ça rebondit.
On imagine (j'ai bien dit << on imagine >>) qu'elles peuvent se traverser :
3 cas de figure :
1) soit les deux volumes sont partiellement unis et on retrouve l'une de ses boules au beau milieu de notre galaxie ou autour 10 000 ans plus tard.
2) soit les deux volumes sont totalement unis et on retrouve l'une de ses boules vraiment loin dans le cosmos 400 000 ans plus tard
3) soit les deux volumes ont été partiellement ou totalement unis durant un lap de temps trop court et l'on retrouve ses boules très loin, mais alors très très loin plusieurs millions d'années plus tard... Ou pas : c'est peut-être l'occasion de pétarader immédiatement en rayons de toute fréquence comme de toute énergie.
Woilà... Back to the future de la pétanque...
Toujours est-il qu'une fois que la boule de pétanque réapparait au milieu de nullepart, vraiment loin de nous, mais pas si loin comparé aux autres amas, elle n'a qu'une seule hâte : ralentir et revenir vers le centre de gravité de la galaxie ou de l'amas de galaxies qu'elle a quitté, et donc d'alimenter d'immensément longues rivières cosmiques qui vont tôt ou tard, pour un certain nombre, alimenter leurs "océans" que sont les trous noirs massif ou super-massifs. Pour les autres, c'est à la première qui entoure nos galaxies de se retrouver alimentée. Il est donc probable que les galaxies, comme les amas subissent, à des échelles et à des périodes complètement différentes une << mue >> comme une araignée de mer entièrement synchrone dans tout l'univers, et uniquement par coïncidence. Car ces boules de pétanques lointaines sont en train de créer de futurs systèmes stellaires tandis que les systèmes stellaires actuels se détruisent en rayons ou en trous noirs.
En gros, Einstein n'a pas fini de nous coller des branlées... Sans parler des vitesses d'aller (énergie impossible à détecter à cause de la vitesse d'éloignement), de phase de demi-tour (énergie trop faibles à détecter) et de retour (je ne sais plus où j'ai écrit que la matière peut être invisible si elle se rapproche trop vite de nous, par décalage de fréquence dans le spectre) qui sont trop importantes pour ne pas encore diviser par trois les aspects de chaque forme de matière noire.
Je vais essayer de rassembler les quelques codes disséminés pour pondre un truc. Mais ne vous attendez pas à un illumination high-tech : du 2ddrawing suffit. On est contraint de déguelinguer le réalisme à cause des échelles de temps et d'espace.